Le canapé Chester, icône du design depuis 1912, arrive aujourd’hui au cœur de Manhattan, dans une version surprenante et ultra contemporaine, spécialement étudiée pour un des hôtels–boutiques les plus prestigieux et à la mode de New York : le Dream Downtown Hotel, dans le Chelsea Meatpacking District.
Plus qu’un hôtel, c’est une véritable galerie d’art, avec des œuvres d’auteurs comme Anish Kapoor exposées dans les espaces communs, comme le lobby. C’est ici qu’une série de Chester, d’une ligne circulaire inédite, accueille les hôtes. Des lignes courbes pour le canapé, pour le pouf central et pour les bancs, tous revêtus d’un cuir gris perle aux reflets lumineux.
Les meubles de Poltrona Frau sont vraiment uniques, à mi chemin entre l’art et le design, en syntonie parfaite avec l’esprit de l’hôtel. Cette version du Chester a été inventée et voulue par l’architecte Frank Fusaro, du studio Handel Architects, qui a conçu aussi bien le design intérieur que la partie externe de l’hôtel. La forme circulaire du canapé rappelle, en un jeu sophistiqué, les nombreuses ouvertures en hublot de la façade originale de l’hôtel, qui donne sur la 17ème avenue.
Le motif des hublots revient aussi sur les plafonds scénographiques du lobby, d’où on peut voir le fond de la piscine.
L’entrepreneur Vikram Chatwal, fondateur du Dream Downtown de New York et de quelques-uns des plus célèbres hôtels boutiques du monde, a demandé expressément à Poltrona Frau Contract de créer un système flexible et modulaire. En rapprochant le canapé, les deux bancs et le pouf on peut composer un cercle large et compact. Mais on peut aussi utiliser les différents éléments un par un, ou bien composer des îlots de relax et de conversation toujours différents.
A l’intérieur du Dream Downtown Hotel, à côté du lobby, se trouve le restaurant Marble Lane, où Poltrona Frau Contract a effectué un autre travail important. La réalisation d’un banc long et continu, doucement rembourré, qui suit tout le périmètre du restaurant. Le revêtement est en cuir Pelle Frau® couleur tabac. Les surfaces sont embellies par des boutons appliqués à la main, dans un ordre apparemment inopiné.
Dans ce cas aussi le rappel à l’extérieur de l’hôtel est évident, mais en même temps discret. En effet, en plus des grands hublots, la façade est caractérisée par une série de petits trous disposés de façon savamment irrégulière. La douceur accueillante des bancs s’harmonise avec le système de lumières : deux cent bulles en verre soufflé qui éclairent l’espace, comme un nuage léger.
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