Les supports utilisés par la sculptrice sont variées. Nous l’avons découverte à l’occasion du salon Maison & Objet de Janvier 2012 au stand Bolier. Une de ses sculptures d’une danseuse habillait l’espace.
Pauline travaille le fil de fer et le grillage qu’elle a appris dans l’atelier de Dino Quartana à Paris. Elle a trouvé un nouveau matériau dans sa maison de famille à Bréhat. Elle y fit la découverte de cette matière dans une décharge publique. Elle les détissa pour en exploiter toute l’érosion.
Le fil de fer lui permet de dessiner en trois dimensions. « Mon travail du grillage est celui de la suggestion, de l’aperçu, lorsqu’il s’accroche en bas relief ombré, ou celui des tensions et mouvements lorsqu’il se renforce de fils d’acier. » explique Pauline Ohrel.
Les élégantes silhouettes et les formes expressives de Pauline Ohrel ne sont pas toutes figuratives mais elles empruntent toujours leur force aux émotions aux sentiments et aux postures humaines dans un mouvement vertical et métaphysique, nourries d’énergie pure.
Née en 1967, Pauline Ohrel travaille depuis 1995 d’abord la terre au cours du soir des Beaux Arts à Paris puis le plâtre, le grillage, le fil de fer dans l’atelier de Dino Quartana (Paris), la soudure, le métal, le bronze dans l’atelier de Paul Flury (Creuse). Parallèlement à cet attrait pour la sculpture, Pauline a poursuivi des études de droit. Depuis 1995, elle se consacre entièrement à son art.
Pour plus d’informations, http://paulineohrel.net
2 Comments
vos sculptures st magnifiques faites vs des stages merci
Je vous invite à vous renseigner auprès de l’artiste